Amener la pharmacie à ceux et celles qui ne peuvent plus s’y rendre en personne: c’est de cet élan solidaire qu’est née Take Care aujourd’hui devenu Smile. Laissée en friche dans l’esprit de Bastien Van Wylick pendant près de 3 ans, la start-up est sortie de terre en à peine 3 jours avec l’arrivée du COVID-19.
Take Care & hub.brussels : les prescriptions de nos spécialistes
Qu’on se le dise: Bastien n’en est pas à sa première aventure entrepreneuriale. Sharify, Citizenfund ou encore Impact Valley ont ainsi précédé l’avènement de Take Care. La start-up se distingue toutefois de ses grandes sœurs, en ce qu’elle s’éloigne du core business de son créateur, davantage tourné sur le service que sur le produit. L’entrepreneur a dès lors pu compter sur les conseils de hub.brussels pour valider les divers aspects de son concept.
L’équipe « Expertises » de hub.brussels
- a analysé le business plan de Take Care
- a renseigné Bastien sur les aspects financiers et légaux de son entreprise
- a validé son pitch à destination des investisseur.ses
- a mis Bastien en relation avec des investisseur.ses
- l’a aidé à préparer son dossier de demande de subsides auprès de finance&invest.brussels
Le cluster lifetech.brussels
- a coaché Bastien
- l’a mis en contact avec une série d’acteurs et actrices-clefs du secteur de la Santé
Bastien Van Wylick
co-fondateur de Take CareLa notoriété de hub.brussels la précède. Déjà en contact avec l'Agence via mes différents projets, j'ai une fois de plus pu valider le professionnalisme de ses équipes, la qualité de leurs conseils, leur réactivité ainsi que leur fiabilité. Sans compter le large réseau qu'elles mettent à disposition des entrepreneurs bruxellois!
Une affaire qui roule
Né de la crise, Take Care entend faire passer la pilule plus facilement aux personnes malades en leur permettant de garder une certaine autonomie, notamment dans la prise de leurs médicaments et en faisant gagner un temps considérable à leurs pharmarcien.ne.s souvent débordé.e.s.
Par un système d’abonnement, les pharmacies confient ainsi leur paquetage à des livreur.ses solidaires à vélo ou à pied.
Les 5 euros demandés aux patients lors de la livraison leur sont entièrement versés, afin de couvrir les frais de déplacement. Une win win situation, qui privilégie le contact humain et la consommation locale, loin des géants de l’e-commerce.
Implantée à Bruxelles et en Wallonie, Take Care projette déjà de donner un coup de pédale supplémentaire, afin d’aller assurer des livraisons au-delà des frontières belges.
Une course qui devrait connaitre un succès certain, avec ou sans ordonnance.
Comme Bastien, vous avez envie de faire valider votre concept et de bénéficier de conseils financiers et d’une expertise juridique?
